Dans la tête de l'Europe

30 Juin 2015


Dans quelques jours, les Grecs voteront pour dire s’ils acceptent ou non les propositions des créanciers. Le premier ministre Alexis Tsipras fait campagne pour le « non », et l’Europe est plus que jamais divisée. L’Allemagne est lasse de la question grecque, la France aimerait bien raisonner Tsipras, l’Italie redoute les conséquences d’un « non » et le parti espagnol Podemos encourage son allié grec.


Crédit : Pierrot



Auteur à deux têtes, métaphoriquement schizophrène : Pierre est aspirant journaliste, Pierrot… En savoir plus sur cet auteur